La pucelle des sables

Ma pénible vie commence au Mohit, dans une tente du peuple du désert, un peuple dont j’ai oublié le nom et dont l’existence elle même a été oublier depuis cette longue décennie. Je me souviens cependant d’un visage basané et encadré d’une tignasse d’un noir de jet qui lui tombait au rein. Un magnifique corps aux jambes de nymphe et aux bras fins, totalement recouvert au henné. Il y avait aussi se ventre plat, ferme et surplombé par se sein si réconfortant. Un autre visage me revient en tête, celui d’un homme au yeux ridé par le sable et le temps, un visage bien sage et joyeux. Un homme assez costaud avec un bon ventre, pas très grand de taille mais très haut d’esprit. Maya et Mohammed Alkarii, de simple marchand du désert mais aussi mes merveilleux parents.

Le clan de marchand de mon père était composé de lui même, 2 hommes de mains, 1 prête eunuque et douze jolies fleures du désert, dont ma mère faisait partie. Il y avait ses enfants, mais 6 frères et 9 sœurs, en moyenne. Étant donné la grande chaleur, le nombre variait. Le tôt de mortalité infantile était très élevé, mais moi j’était faite forte et les dieux voulaient que je survive.

Le clan de mon père était nomade. Il possédait douze chameaux, un magnifique étalon noir et 4 juments haraz. Il avait aussi ses quelques chèvres et son faucon. Il se promenait de petites villes en petites villes pour ainsi marchander de grands tissus, ses quelques bêtes et enfin faire courir son poulain et ses pouliches. Car s’il était un bon marchand il était par dessus tout le plus féroce des coureurs. On payait cher pour que celui-ci veuille bien faire accoupler son étalon et cela pas avec n’importe qu’elle roncin. Pareille pour ses juments, le moindre malheureux qui se risquait a courtiser la pouliche, c’était la mort pour le cheval et son maître.

Je n’avais que 4 ans quand mon clan à été dissout par ses marchands, jalousant les grandes richesses de feu mon père. Il faisait jour et je somnolais dans les bras de ma mère quand un très bon ami de mon père intercepta la caravane sur notre route habituelle. Se supposé ami feintais un bris de chariot. Nous approchâmes donc de leur caravane quand soudain nous fîmes attaquer par une dizaine d’homme à cheval. Nous ne résistâmes point, notre tribut étant composé en moyenne de femmes et d’enfants. Mon père et ses hommes de main fût tuer ainsi que l’eunuque, les femmes considérer comme laide ou trop âgé et les enfants trop jeune pour être capable de continuer le chemin. Moi j’étais très limite, mais ses hommes considéreraient que j’allais me vendre a bon prix quand j’allais être plus vieille. À l’époque, j’ignorais pourquoi et maintenant, je l’ignore toujours, un dont pour la survie peut-être. Par mon grand bonheur, il gardèrent ma jolie mère en vie aussi, se qui fut son plus grand malheur pour elle. Elle était maintenant traiter comme une putain, devant assouvir le moindre des désirs de chacun de ses horribles monstres assoiffés de sang et de pouvoir.

Je ne resta point longtemps dans se clan je fus exposé au premier marcher, en même temps que les 4 haraz de mon père. Un homme ne venant pas du coin offrit une très coquette sommes d’argent pour les juments. Quant à moi, je fus un cadeau qui venait en prime.

Du Mohit, je passai donc par l'étrange Faille près de Mhor'Kar, là où j'entendis les pus étrange légende de cultiste totalement rendu fou, pour ensuite traverser les grandes steppes désolée et arrivé en Bastillon dans la voïvodat de Varzaleid. Je fini se voyage sur le bord de la Mer Tranquile à Jovrine. Je restai jusqu’à l’âge de 6 ans dans ce clan. Un jour j’était enchaîner au mat de leur immense tente à servir les maîtres de raisins, de vin et bien d’autres caprices, l’autre je prenais soin de ses innombrables chevaux provenant de chaque coin du globe avec 2 garçons plus âgés que moi. Un jour j’assistai même à l’accouchement d’une des juments de mon père. Elle donna naissance à un petit rejeton noir à la crinière doré, semblable a celui que mon père avait à l’époque. Je me liai vite d’amitié avec celui-ci dormant à tous les soirs dans le prés.

Je ne restai pas longtemps dans ce clan. J’avais 6 ans quand nous nous rendîmes à Lavakhnir. Nous fûmes intercepter pas ce riche passant. Un espèce de baron passionné par la beauté de l’art. Il me vit donc moi assise sur mon jeune étalon noir et tomba littéralement amoureux de l’image. La petite gamine de 6 ans, là, assise sur son poney à la robe de même couleurs que ses cheveux tombant sur ses petites épaules frêle. Il demanda le prix de la dite œuvre et je fus à lui en un claquement de doigt et quelques chads.

Cet espèce de Baron était bien gentil, par contre il était bien étrange. J’était à ses yeux une simple esclave, mais aussi pratiquement sa fille. Il me fit peindre mainte et mainte reprise avec mon étalon que j’avais finalement décidé d’appeler Vlakost. Il tenta de m’enseigner la musique en m’installant un étrange instrument semblable à nos luttes de tribut. Par contre cet instrument se jouait principalement avec un bâton auquel on avait rajouter du crin de cheval. On appelait ceci un violon. Mais peu importe je n’aima pas en jouer et j’étai loin d’être un prodige. Si je n’eu point de talent pour produire la musique, je sus bien la danser. Des fois je la suivi et je me rappelai ma mère qui aimais bien danser avec les autres femmes autour d’un grand feu au rythme de tamtams endiablés.

Je restai très longtemps dans se petit manoir du mystérieux Lavaknir. Jusqu’à l’âge de 12 ans où je fus en âge de me marier et c’est bien se que le baron voulu entreprendre avec moi. Quel horreur, moi une simple fille de 12 ans, me marier avec se vieux de 41 ans! C’était horrible. Voyant que je me refusai à lui autant pour autant, il alla jusqu’à menacer de tuer Vlakost. Ne voulant faire aucun mal à mon ami de longue date, je tenta donc de m’enfuir de cet horrible baron, mais cette fuite me coûta bien cher. Ses hommes à mes trousses, ils ont eu tôt fais de me rattraper et tua ainsi Vlakost sous mes yeux. Cependant, cette fois-ci, le baron m’amena au marcher des esclaves et réussi à m’échanger pour une beaucoup plus jeune que moi.

Cette fois, on me racheta quelques jour après pour travailler dans une tannerie à Bratvish. Je ne restai qu’une seul semaine tout au plus, l’homme ne m’ayant acheter que pour mon jolie petit minois, je ne lui était donc d’aucune utilité dans un monde de bras dur.

Je me promenai ainsi de main d’homme en main d’homme, traversant tout les royaumes du continent, du nord au sud, de l’est vers l’ouest, rencontrant plusieurs peuples, plusieurs cultures, religions aussi étranges les unes que les autres, pour finalement tombé sur les grand protecteur de la veuve et l'orphelin. Je me souvins de se paladin là assied sur son destrier tout blanc. Il me rappela le fameux prince charmant des contes que l’on raconte pour endormir les bambins. Il enleva son heaume, pointa mon maître de son doigt accusateur et dis de sa voit si héroïque : Quel honte ainsi traité des êtres de votre race de votre couleur, de votre sang même.
Il fonça donc sur mon maître et lui trancha la tête d’un seul coup d’épée. D’autres subirent le même sort et d’autres prirent leurs jambes à leur cou et s’enfuirent. C’est alors qu’il plongea ses magnifique yeux bleu ciel dans les miens. Je crus fondre sur place. Il me donna un palefroi, quelques chads et m’invita à partir loin de se lieu baigner de sang. C’est à se moment précis, le moment ou je senti le vent dans mon espèce de crinière noir que je sus que ma vie en tant qu’esclave étais enfin terminer. La lumière se dévoila enfin devant mes grande prunelles noisette. Quelle joie de respirer pour la première fois, depuis 16 ans ma propre atmosphère de personne libre. Je fit courir mon lusitanien que je commençais a faire belle connaissance. Sa robe couleur baie et sa merveilleuse fouler le rendait très particulier. Son maître du avoir de merveilleuse richesse pour posséder tel bête.

Le bel étranger et en l’occurrence mon sauveur fini par me rattraper dans ma course effrénée. Il fit arrêter mon palefroi et commença et me reluquer de haut en bas. Il me fit un magnifique sourire et se présenta. Seigneur Godefroy d'Héodym, grand chevalier de la Fleur de Lys et grand priant d’Usire Aédon. Et dire que moi j’était pauvre nomade d’un clan oublier. Il me ramena au domaine , m’offrit des appartements et de nouvelle tenu, de magnifiques toilettes que je n’aurais jamais osé rêver. Je vivais maintenant comme une reine.

Godefroy et moi tombèrent vite dans les bras l’un de l’autres. Cependant, nous dûmes se fréquenter dans le pêcher. Il avait fais voeux de chasteté et moi j’entendait déjà la voit de Khalii résonner dans ma tête. Il était si doux sous la couette et tant de richesse s’ouvrit devant mes yeux ébahies. La sage Tharös me conseilla de suivre mon destin et que la chance tournais enfin en ma faveur. Il fallait que se soit lui, il fallait que se soit mon présent et mon futur. Il fallait que le monde entier sache que nous nous aimions plus que tout au monde. Mais il fallait garder le tout secret et c’était horrible. Ses grand pouvoir de paladin s’affaiblissait de jour en jour, son dieu ne voulant pratiquement plus de lui et ses frères durent découvrir le poteau rose. Le jour ou il fut démasquer, je dus m’enfuirent avec mon nouvel ami chevalin et lui…lui et son cheval furent condamné. Encore une fois, quelqu’un mourut pour avoir osé m’aimer.

Je m’était donc résigner à ne plus aimé que mon nouvel ami Smith et n’aimer que lui. Ayant enfin une pur et réelle liberté je m’étais donc empêcher de retomber en amour et suivre le long chemin de la vie sur les routes d’Illimune.

Par contre je fini par découvrir une chose, mon merveilleux talent à charmer n’importe quel imbécile-heureux. Je réussi donc à me créer une petite business en commerçant mes merveilleux charmes contre bien des chads. Je me promenai donc de bordel en bordel, jusqu’à se que je tombe sur se clan d’Éragogks. Des marchands bien sympathique qui allaient passer leur été sur les Terres de Bélénos. Curieuse idée, ayant passé bien du temps dans les maisons de débauche, il m'était souvent arrivé de bien drôle d’histoire à faire dresser le poile du plus pur des moines…Mais bon je m’attachai vite à ses marchands et ils m’offrirent de parcourir les terres avec eux. Cela n’était pas une mauvaise idée, j’était quand même seul et s’en défense contre un monde rempli de risque.

Maintenant, moi, Sambre Alkarii, suis-je libre et le resterai à jamais.

J'ai du modifier un peu mon histoire vu qu'il ne fallait pas que vous ayez l'air a des esclavagistes. par contre j'espère que vous avez faites bonne lecture, vous m'en donnerez des nouvelles!!!
Bizou

Bon finalement plus j'avance dans mon étude du GN et plus j'me rend compte qu'il y a certain point de mon histoire qu'il faut que je modifie. Faudrait quand même pas que j'aille contredire ou inventer des trucs inexistants.
fack checker si sa vous tente mais là j'viens du Mohit et non des pleine désertique, pis ya d'autre tite partie comme ca qui on changer.

J'ai trouvé quelque chose qui m'a fait penser à toi! http://hito76.deviantart.com/art/Complicite-111314624
:p

haaaaaaaa!!! J'suis vraiment d'accord, surtout que le garçon s'appelle Gabriel
Mais sa me rappelle le moment ou elle est en amour avec son preux chevalier.
Merci beaucoup pour l'image