Aldor de Dorgon, Ingénieur

Je suis Aldor de Dorgon, frère jumeau de Mirao. Né il y a bientôt dix-neuf longues années de [NOM DU PÈRE] et [NOM DE LA MÈRE], ma vie n'a jamais de tout repos.

Tout jeune, mes parents m'ont appris la valeur de la connaissance: mathématiques, écriture, langues étrangères, tout cela était important pour eux. C'est d'ailleurs grâce à l'importance qu'il portait en les facultés intellectuelles que moi et ma sœur sommes allés à l'école un certain temps, même si nos parents était, sans être sans le sous, loin d'être des bourgeois.

Notre position sociale plus basse que la moyenne m'a attirer des ennuis avec les fils de riches arrogant et jaloux du succès que moi et ma sœur avions sur les bancs d'école. Bien que cela m'ait appris la valeur des prouesses martiale, je ne revivrai pour rien au monde cette période de ma vie.

Tout de même, notre éducation nous sert bien depuis: Mirao s'occupe des finances du clan, moi de la catapulte... Travail qui, même si il semble bête, demande quand même du savoir-faire.

Éventuellement, nos parents n'eurent plus assez d'argent pour payer l'école; c'est d'ailleurs peu après notre retrait de l'école que nos parents moururent sans explication, ni des autorités de la ville ni de qui que ce soit. Pour survivre, nous nous sommes trouvé des emplois: Mirao offrit ses services de cuisinière et de ménagère, alors que je me mis à travailler pour un fabricant de machines de guerres. J'y appris beaucoup de mon savoir actuel, et mon éducation fut d'une grande aide pour me sortir du lot des nombreux autres ouvriers de l'atelier.

Ce fut une bonne période pour nous. Certes, nous avions perdu nos parents, mais nous avions l'un et l'autre, et, du moins pour ma part, j'aimais mon emploi.

Ça ne devait pas durer. Quelques mois plus tard, je fus conscrit dans l'armée locale. Mon savoir des armes de sièges m'amena à être assigné à la garde des fortifications et à l'entretient des catapultes. Après un entrainement sommaire et quelques semaines de tours de garde et d'autre tâches complètement négligeable pour cet histoire, je fus mis au travail sur les machines de guerre.

Ce travail continua pour environ un an. Je fus ensuite relâcher dans la population civile: j'avais fait mon temps. J'eus même l'opportunité de garder ma hallebarde de service.

Sans que le commandement le sache, évidemment; j'eus l'intuition qu'ils n'approuverait pas.

Je puis ensuite retourner à mon ancien atelier; mon maître m'accueillit à bras ouvert.

Peu après. Mirao rencontra un vaurien de vagabond. Pire, elle en tomba amoureuse! L'amour est aveugle, certes... Mais il n'est quand même pas sourd. Quand fut venu l'heure du départ de leur caravane, Mirao me demanda de les accompagner; nous ne voulions pas nous séparer et, de toutes façons, ça me donnerait l'opportunité de surveiller ce Karlys. En plus, bien que Dorgon était chez moi, c'était une ville corrompue, tant au sens propre que moralement.

Deux an plus tard, et nous ommes ici, à Bélénos. J'ai appris à apprécier les nombreux membres de la grande famille Eraogks... et à supporter Karlys, maintenant marié à Mirao malgré mes remontrances. Bélénos est un endroit fertile pour le profit que nous cherchons constamment; la catapulte que nous trainons (et nos services pour celles-ci) sera assurément utile dans ces terres troublés.

[OOC: Content, tout le monde?]

bha j'croyait qu'on la faisait pu la catapulte??

Ça a été écrit avant que nous décidions de lâcher la catapulte. Je vais laisser le background comme ça pour le moment; je verrai si je décide de changer d'habiletés.